Les puces dentellières de Marcoussis

Nous voici au deuxième bâtiment, l'orangerie. A l'entrée, il y avait trois matriochkas, ces célèbres poupées russes. Elles étaient réalisée en cartonnage avec 3 tiroirs. Le visage était aussi un tiroir. Original et très bien fait, c'est une bonne idée pour ranger votre matériel dentellier.

En face de nous, nos deux amies de Dours Dentelle bradaient dentelles, modèles et fils anciens tout en travaillant.
A côté, c'était "Annelots". Vous y trouviez toute une série de soie à des prix défiant toute concurence.

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C'était la première fois que nous les rencontrions. Ils étaient à notre gauche et étaient vraiment très sympathiques. Nos voisins parisiens étaient vraiment dans l'esprit "puces". Ils vendaient des anciens livres, des revues, une multitude de fuseaux de tous pays et un métier suédois qui fût vendu avant l'arrivée du public !
Quand à notre stand, c'était aussi brocante : vieux métiers, fils, fuseaux de toutes sortes et bien sûr les produits de l'association : livres, timbres, tabliers, sacs, ... Rosanna, pour cette occasion, ne faisait pas de la dentelle aux fuseaux mais de la dentelle à l'aiguille. Comme nous avions pris beaucoup de choses pour les puces, cela prenait beaucoup moins de place. A notre grand étonnement, cette technique a fortement intéressé le public, non seulement les dames mais également les messieurs.

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Voici l'équipe organisatrice. C'est toujours un plaisir d'aller à Marcoussis. Cela change des couviges et autres expositions. Il est toujours risqué de programmer une manifestation en février. Mais, comme souvent à Marcoussis lors des puces dentellières, nous avons eu un temps clément avec un ciel tout bleu. Un grand merci à toute l'équipe et particulièrement à Nicole, notre interlocutrice priviligiée. Pour vos remarques : le Nouveau Livre d'or